Jérôme Dupras - directeur
Professeur au Département des sciences naturelles de l’Université du Québec en Outaouais et chercheur à l’Institut des Sciences de la Forêt tempérée. Il est titulaire d’un doctorat en géographie et d’un baccalauréat en biochimie de l’Université de Montréal et a réalisé un stage postdoctoral au Département de biologie de l’Université McGill. Ses intérêts de recherche se centrent sur l’évaluation économique des services écosystémiques, la relation entre les écosystèmes et la production de services écosystémiques et la gouvernance et l’aménagement du territoire.
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Professeur au Département des sciences naturelles de l’Université du Québec en Outaouais et chercheur à l’Institut des Sciences de la Forêt tempérée. Il est titulaire d’un doctorat en géographie et d’un baccalauréat en biochimie de l’Université de Montréal et a réalisé un stage postdoctoral au Département de biologie de l’Université McGill. Ses intérêts de recherche se centrent sur l’évaluation économique des services écosystémiques, la relation entre les écosystèmes et la production de services écosystémiques et la gouvernance et l’aménagement du territoire.
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Vijay Kolinjivadi - stagiaire post-doctoral
Vijay s’intéresse à la tendance des dernières années qui vise le traitement de la nature en tant que productrice de services ecosystèmiques. Il cherche à comprendre qui sont les gagnants et les perdants de cette nouvelle vague de politiques environnementales. Vijay obtient son baccalauréat en écologie en 2006 à l'Université d’Edimbourg et sa maitrise en politique environnementale et développement à l’École d’économie et de sciences politiques de Londres en 2009. Titulaire d’un doctorat en économie écologique à l’Université McGill en 2015, il possède plus de 6 ans d’expérience dans les enquêtes des paiements pour services écosystèmiques (PSE) notamment en Asie (Chine, Vietnam, Kirghizistan, Népal). Sa recherche doctorale a remis en question la conception de justice environnementale en ciblant les paiements qui proviennent des bénéficiaires des services à ceux qui en fournissent. En 2016, il s’est joint à l’équipe de l’ISFORT à titre de stagiaire postdoctoral dans le cadre du projet ANCRAGE afin d'étudier les différentes perceptions des acteurs lors de l’implantation des PSE au Québec et de proposer un cadre institutionnel qui se base sur la pluralité des valeurs socio-écologiques pour d’assurer la pérennité et l’équité des pratiques agro-environnementale.
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Vijay s’intéresse à la tendance des dernières années qui vise le traitement de la nature en tant que productrice de services ecosystèmiques. Il cherche à comprendre qui sont les gagnants et les perdants de cette nouvelle vague de politiques environnementales. Vijay obtient son baccalauréat en écologie en 2006 à l'Université d’Edimbourg et sa maitrise en politique environnementale et développement à l’École d’économie et de sciences politiques de Londres en 2009. Titulaire d’un doctorat en économie écologique à l’Université McGill en 2015, il possède plus de 6 ans d’expérience dans les enquêtes des paiements pour services écosystèmiques (PSE) notamment en Asie (Chine, Vietnam, Kirghizistan, Népal). Sa recherche doctorale a remis en question la conception de justice environnementale en ciblant les paiements qui proviennent des bénéficiaires des services à ceux qui en fournissent. En 2016, il s’est joint à l’équipe de l’ISFORT à titre de stagiaire postdoctoral dans le cadre du projet ANCRAGE afin d'étudier les différentes perceptions des acteurs lors de l’implantation des PSE au Québec et de proposer un cadre institutionnel qui se base sur la pluralité des valeurs socio-écologiques pour d’assurer la pérennité et l’équité des pratiques agro-environnementale.
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Sylvia Wood - stagiaire post-doctoral
Sylvia est une écologue du paysage et géographe qui a une formation en biologie de l’Université de Queens à Kingston, une maitrise en écologie forestière de l’Université de la Colombie Britannique et un doctorat en géographie de la culture itinérante dans l’Amazonie de l’Université de McGill. Sa recherche touche sur la gestion des paysages multifonctionnels pour la conservation environnementale, les services des écosystèmes et le bien-être humain. Elle utilise une combinaison d’échantillonnage de terrain, d’entretiens et la modélisation du paysage pour comprendre ces systèmes socio-écologiques. Récemment, elle vient de terminer un stage postdoctoral au sein de Biodiversity International - CGIAR sur les contributions potentielles des services des écosystèmes aux Objectifs du Développement Durable (ODDs). Dans son poste au Laboratoire d’économie écologique, Sylvia entreprend une analyse de la gestion du territoire et des services des écosystèmes dans le bassin versant de la Baie Missisquoi afin de mieux comprendre les flux de nutriments et leur impact sur les floraisons de cyanobactéries.
www.sylviawood.ca
Sylvia est une écologue du paysage et géographe qui a une formation en biologie de l’Université de Queens à Kingston, une maitrise en écologie forestière de l’Université de la Colombie Britannique et un doctorat en géographie de la culture itinérante dans l’Amazonie de l’Université de McGill. Sa recherche touche sur la gestion des paysages multifonctionnels pour la conservation environnementale, les services des écosystèmes et le bien-être humain. Elle utilise une combinaison d’échantillonnage de terrain, d’entretiens et la modélisation du paysage pour comprendre ces systèmes socio-écologiques. Récemment, elle vient de terminer un stage postdoctoral au sein de Biodiversity International - CGIAR sur les contributions potentielles des services des écosystèmes aux Objectifs du Développement Durable (ODDs). Dans son poste au Laboratoire d’économie écologique, Sylvia entreprend une analyse de la gestion du territoire et des services des écosystèmes dans le bassin versant de la Baie Missisquoi afin de mieux comprendre les flux de nutriments et leur impact sur les floraisons de cyanobactéries.
www.sylviawood.ca
Céline Jacob - stagiaire post-doctoral
Céline s’intéresse aux modes de gouvernance environnementale et aux instruments de gestion de la biodiversité. Elle a obtenu son doctorat en géographie à l’université Paul-Valéry Montpellier en 2017 portant sur l’application de la compensation écologique aux écosystèmes marins en partenariat avec le bureau d’études en environnement CREOCEAN. Elle a ensuite effectué un premier post-doctorat au sein de l’UMR-Amure (Brest, France) dans le cadre de l’analyse économique et sociale de la Directive Cadre Stratégie pour le Milieu Marin (DCSMM). Son expertise s’appuie avant tout sur la géographie mais fait aussi appel à la pluridisciplinarité par le biais de l’écologie et de l’économie. Ses travaux explorent la notion de développement durable à travers l’analyse de l’efficacité du mécanisme de compensation, les outils d’évaluation des coûts de maintien du capital naturel et l’évaluation des impacts et dépendances du secteur privé sur la biodiversité et les services écosystémiques. Elle réalise actuellement son stage postdoctoral à l’UQO sur la mise en place du nouveau règlement sur la compensation des zones humides et hydriques au Québec.
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Céline s’intéresse aux modes de gouvernance environnementale et aux instruments de gestion de la biodiversité. Elle a obtenu son doctorat en géographie à l’université Paul-Valéry Montpellier en 2017 portant sur l’application de la compensation écologique aux écosystèmes marins en partenariat avec le bureau d’études en environnement CREOCEAN. Elle a ensuite effectué un premier post-doctorat au sein de l’UMR-Amure (Brest, France) dans le cadre de l’analyse économique et sociale de la Directive Cadre Stratégie pour le Milieu Marin (DCSMM). Son expertise s’appuie avant tout sur la géographie mais fait aussi appel à la pluridisciplinarité par le biais de l’écologie et de l’économie. Ses travaux explorent la notion de développement durable à travers l’analyse de l’efficacité du mécanisme de compensation, les outils d’évaluation des coûts de maintien du capital naturel et l’évaluation des impacts et dépendances du secteur privé sur la biodiversité et les services écosystémiques. Elle réalise actuellement son stage postdoctoral à l’UQO sur la mise en place du nouveau règlement sur la compensation des zones humides et hydriques au Québec.
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Adrien Guetté - stagiaire post-doctoral
Adrien est chercheur en conservation et consultant pour l’IUCN. Son travail s’inscrit dans le champ de la conservation de la nature avec des approches disciplinaires qui relèvent principalement de la géographie et de l’écologie. Au cours de son doctorat soutenu à l’Université de Nantes en 2018, il s’est d’abord intéressé à la quantification et à la cartographie multiscalaire de l’anthropisation et de la naturalité. Il a ensuite cherché à mesurer l’effet des gradients d’anthropisation sur la distribution de la biodiversité. Ses travaux mobilisent les outils et les méthodes de l’analyse spatiale (SIG, écologie du paysage) pour mesurer les dynamiques spatio-temporelles de la biodiversité à travers plusieurs modèles biologiques (oiseaux, plantes) en lien avec différents marqueurs anthropiques (e.g. pollution lumineuse, densité de bâti, réseau routier). Ses recherches ont pour but d’améliorer la compréhension des interrelations Homme-Nature et contribuer à développer des mesures appliquées de conservation.
Au sein de l’UQO, il va participer à l’élaboration d’analyses socio-économiques visant à évaluer l’efficacité, les coûts et les bénéfices des différentes mesures de réduction de l’empreinte acoustique des navires dans l’habitat essentiel du béluga du Saint-Laurent.
Adrien est chercheur en conservation et consultant pour l’IUCN. Son travail s’inscrit dans le champ de la conservation de la nature avec des approches disciplinaires qui relèvent principalement de la géographie et de l’écologie. Au cours de son doctorat soutenu à l’Université de Nantes en 2018, il s’est d’abord intéressé à la quantification et à la cartographie multiscalaire de l’anthropisation et de la naturalité. Il a ensuite cherché à mesurer l’effet des gradients d’anthropisation sur la distribution de la biodiversité. Ses travaux mobilisent les outils et les méthodes de l’analyse spatiale (SIG, écologie du paysage) pour mesurer les dynamiques spatio-temporelles de la biodiversité à travers plusieurs modèles biologiques (oiseaux, plantes) en lien avec différents marqueurs anthropiques (e.g. pollution lumineuse, densité de bâti, réseau routier). Ses recherches ont pour but d’améliorer la compréhension des interrelations Homme-Nature et contribuer à développer des mesures appliquées de conservation.
Au sein de l’UQO, il va participer à l’élaboration d’analyses socio-économiques visant à évaluer l’efficacité, les coûts et les bénéfices des différentes mesures de réduction de l’empreinte acoustique des navires dans l’habitat essentiel du béluga du Saint-Laurent.
Alejandra Zaga Mendez - candidate au doctorat
Alejandra Zaga Mendez est candidate au doctorat à l’ISFORT/UQO. Elle obtient une maitrise en sciences de ressources naturelles en 2016, et un baccalauréat en sciences agro-environnementales en 2013 à l’Université McGill. Elle possède une formation en économie écologique et sciences agroenvironnementales, et s’intéresse aux rôles des institutions et des cadres socio-écologiques dans l’adoption des comportements écologiques. Dans le cadre du projet ANCRAGE, sa recherche porte sur les facteurs écologiques et institutionnels qui assurent la pérennité des pratiques agroenvironnementale dans un contexte de changements climatique. Plus spécifiquement, ce projet de recherche vise à proposer des modèles socioécologiques qui prennent en considération les défis biophysiques et écologiques présents dans l’agriculture québécoise.
Alejandra Zaga Mendez est candidate au doctorat à l’ISFORT/UQO. Elle obtient une maitrise en sciences de ressources naturelles en 2016, et un baccalauréat en sciences agro-environnementales en 2013 à l’Université McGill. Elle possède une formation en économie écologique et sciences agroenvironnementales, et s’intéresse aux rôles des institutions et des cadres socio-écologiques dans l’adoption des comportements écologiques. Dans le cadre du projet ANCRAGE, sa recherche porte sur les facteurs écologiques et institutionnels qui assurent la pérennité des pratiques agroenvironnementale dans un contexte de changements climatique. Plus spécifiquement, ce projet de recherche vise à proposer des modèles socioécologiques qui prennent en considération les défis biophysiques et écologiques présents dans l’agriculture québécoise.
Caroline Simard - candidate au doctorat
Caroline est titulaire d'une maîtrise en économie de l'UQAM (2008) et d'un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal (2004). Son mémoire de maîtrise portait sur l'intégration de la valeur de l'amélioration de la qualité de l'eau dans l'analyse avantages-coûts de différents scénarios de pratiques agroenvironnementales. Économiste à l'IRÉC, elle est chargée de projets dans le domaine de l'énergie, des ressources naturelles et du développement durable. Elle a également contribué à des mandats de consultation portant sur les services écologiques liés à l'agroforesterie et a participé à deux stages de recherche au Kenya et en Ouganda liés aux paiements pour services environnementaux et à l'évaluation de programmes. Caroline s'est jointe aux projets ANCRAGE et ATRAPP en janvier 2017 où elle réalisera des analyses avantages-coûts intégrant les valeurs économiques hors marché et elle participera à l'élaboration de programmes de paiements pour services environnementaux (PES). Ses intérêts de recherche portent sur l'intégration de la complexité des systèmes socio-écologiques au sein des programmes de PES.
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Caroline est titulaire d'une maîtrise en économie de l'UQAM (2008) et d'un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal (2004). Son mémoire de maîtrise portait sur l'intégration de la valeur de l'amélioration de la qualité de l'eau dans l'analyse avantages-coûts de différents scénarios de pratiques agroenvironnementales. Économiste à l'IRÉC, elle est chargée de projets dans le domaine de l'énergie, des ressources naturelles et du développement durable. Elle a également contribué à des mandats de consultation portant sur les services écologiques liés à l'agroforesterie et a participé à deux stages de recherche au Kenya et en Ouganda liés aux paiements pour services environnementaux et à l'évaluation de programmes. Caroline s'est jointe aux projets ANCRAGE et ATRAPP en janvier 2017 où elle réalisera des analyses avantages-coûts intégrant les valeurs économiques hors marché et elle participera à l'élaboration de programmes de paiements pour services environnementaux (PES). Ses intérêts de recherche portent sur l'intégration de la complexité des systèmes socio-écologiques au sein des programmes de PES.
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Rose Kikpa Bio - candidate au doctorat
Rose est titulaire d’une maîtrise en géographie et aménagement du territoire à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin) et d’une autre maîtrise en sciences sociales du développement territorial à l’Université du Québec à Outaouais (UQO). Son mémoire de maîtrise portait sur La gouvernance des espaces verts à Gatineau : cas de la forêt Boucher. Elle continue ses études au doctorat en Sciences Sociales Appliquées à l’UQO. Ayant plusieurs années d’expériences professionnelles en développement communautaire et coopération internationale, Rose a contribué à l’élaboration des politiques en gestion de l’environnement, des schémas d’aménagements et de développement. Ses champs de recherches portent sur la gestion des ressources naturelle, l’aménagement du territoire et la gouvernance.
Rose est titulaire d’une maîtrise en géographie et aménagement du territoire à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin) et d’une autre maîtrise en sciences sociales du développement territorial à l’Université du Québec à Outaouais (UQO). Son mémoire de maîtrise portait sur La gouvernance des espaces verts à Gatineau : cas de la forêt Boucher. Elle continue ses études au doctorat en Sciences Sociales Appliquées à l’UQO. Ayant plusieurs années d’expériences professionnelles en développement communautaire et coopération internationale, Rose a contribué à l’élaboration des politiques en gestion de l’environnement, des schémas d’aménagements et de développement. Ses champs de recherches portent sur la gestion des ressources naturelle, l’aménagement du territoire et la gouvernance.
Chloé L'Ecuyer-Sauvageau - candidate au doctorat
Chloé a une formation en études de l’environnement et en économie. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’Université d’Ottawa en études de l’environnement et en science économique (2014) et d’une maîtrise de l’Université Concordia en Environmental Assessment (2016). Son projet de doctorat porte sur l'évaluation monétaire et non monétaire des services écosystémiques liés à la qualité de l'eau dans un contexte de floraison de cyanobactéries en Estrie. Ses intérêts de recherche portent principalement sur l’économie écologique, l’aménagement du territoire et la conservation d’espaces naturels.
Chloé a une formation en études de l’environnement et en économie. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’Université d’Ottawa en études de l’environnement et en science économique (2014) et d’une maîtrise de l’Université Concordia en Environmental Assessment (2016). Son projet de doctorat porte sur l'évaluation monétaire et non monétaire des services écosystémiques liés à la qualité de l'eau dans un contexte de floraison de cyanobactéries en Estrie. Ses intérêts de recherche portent principalement sur l’économie écologique, l’aménagement du territoire et la conservation d’espaces naturels.
Ann Lévesque - candidate au doctorat
Ann s’est jointe au laboratoire d’économie écologique et au projet ANCRAGE en 2017 lorsqu’elle était à la maîtrise au département des sciences naturelles de l’UQO. Au cours de ses études de deuxième cycle, elle a étudié le conflit de conservation entourant la production agricole dans la plaine inondable du lac Saint-Pierre (Québec, Canada) et la conservation des habitats fauniques. Titulaire d'un baccalauréat en sciences agronomiques et environnementales de l'Université McGill, ses intérêts de recherche portent sur l'analyse des systèmes socio-écologiques, l'économie écologique, la gouvernance environnementale et la recherche-action. Depuis l’hiver 2019, Ann a commencé un doctorat pour continuer ses recherches entamées à la maîtrise dans le but de définir des pistes d’action collective favorisant la conciliation des usages en milieu agricole.
Site web: https://annlevesque.weebly.com
Ann s’est jointe au laboratoire d’économie écologique et au projet ANCRAGE en 2017 lorsqu’elle était à la maîtrise au département des sciences naturelles de l’UQO. Au cours de ses études de deuxième cycle, elle a étudié le conflit de conservation entourant la production agricole dans la plaine inondable du lac Saint-Pierre (Québec, Canada) et la conservation des habitats fauniques. Titulaire d'un baccalauréat en sciences agronomiques et environnementales de l'Université McGill, ses intérêts de recherche portent sur l'analyse des systèmes socio-écologiques, l'économie écologique, la gouvernance environnementale et la recherche-action. Depuis l’hiver 2019, Ann a commencé un doctorat pour continuer ses recherches entamées à la maîtrise dans le but de définir des pistes d’action collective favorisant la conciliation des usages en milieu agricole.
Site web: https://annlevesque.weebly.com
Marc-André Guertin - candidat au doctorat (co-direction)
Marc-André Guertin a une formation en sciences (écologie et sciences de l’environnement) de l’UQAM et de l’Université McGill. Il détient une maîtrise en sciences de l’environnement de l’UQAM, et une formation de 2e et 3e cycle en éducation relative à l’environnement (UQAM) ainsi qu’en pédagogie de l’enseignement supérieur (Université de Sherbrooke). Il détient une expérience appréciable en gestion des milieux naturels à l’échelle locale, il enseigne la conservation de la biodiversité au Centre de formation universitaire en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Ses intérêts de recherche portent sur l’aménagement du territoire ainsi que la formation des décideurs à l’environnement et à la biodiversité. Il est candidat au doctorat à l'Institut des sciences de l'environnement de l'UQAM sous la direction de Lucie Sauvé.
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Marc-André Guertin a une formation en sciences (écologie et sciences de l’environnement) de l’UQAM et de l’Université McGill. Il détient une maîtrise en sciences de l’environnement de l’UQAM, et une formation de 2e et 3e cycle en éducation relative à l’environnement (UQAM) ainsi qu’en pédagogie de l’enseignement supérieur (Université de Sherbrooke). Il détient une expérience appréciable en gestion des milieux naturels à l’échelle locale, il enseigne la conservation de la biodiversité au Centre de formation universitaire en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Ses intérêts de recherche portent sur l’aménagement du territoire ainsi que la formation des décideurs à l’environnement et à la biodiversité. Il est candidat au doctorat à l'Institut des sciences de l'environnement de l'UQAM sous la direction de Lucie Sauvé.
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Matthieu Beaumont - candidat au doctorat (co-direction)
Matthieu obtient une maîtrise en biologie en 2006 (UQAM) et un baccalauréat en biologie en 2003 (UQTR). Au fil des dernières années, il a oeuvré au sein d’organismes de bassin versant et d’équipes gouvernementales de gestion des populations de sauvagine en plus de produire et réaliser des albums de chanson (Tricot machine, Catherine Leduc). Ses intérêts pour la dynamique des populations ainsi que la mise en valeur du milieu lui ont permis d'intégrer le volet écologique du projet ANCRAGE. Ce volet vise à mesurer l'efficacité des aménagements agro-fauniques (haies brise-vent, berges et corridors reboisés) du sud du Québec à maintenir la biodiversité animale en garantissant la connectivité écologique entre les parcelles forestières isolées de l’agroécosystème.
Matthieu obtient une maîtrise en biologie en 2006 (UQAM) et un baccalauréat en biologie en 2003 (UQTR). Au fil des dernières années, il a oeuvré au sein d’organismes de bassin versant et d’équipes gouvernementales de gestion des populations de sauvagine en plus de produire et réaliser des albums de chanson (Tricot machine, Catherine Leduc). Ses intérêts pour la dynamique des populations ainsi que la mise en valeur du milieu lui ont permis d'intégrer le volet écologique du projet ANCRAGE. Ce volet vise à mesurer l'efficacité des aménagements agro-fauniques (haies brise-vent, berges et corridors reboisés) du sud du Québec à maintenir la biodiversité animale en garantissant la connectivité écologique entre les parcelles forestières isolées de l’agroécosystème.
Félix Lorrain-Landry - candidat à la maîtrise
Félix est titulaire de la maîtrise en gestion durable des écosystèmes forestiers (UQÀM - 2017) ainsi que du baccalauréat en biologie de l'UQÀM (2015). Son projet-synthèse de maîtrise portait sur l'encadrement de la cueillette de champignons sauvages sur les terrains privés de la région péri-urbaine montréalaise. Ses stages l'ayant mené des zones agricoles aux forêts boréales, c'est la forêt urbaine et ses habitants qui ont retenu son attention. Dans le cadre de son projet de recherche, il s'intéresse présentement aux relations unissant canopée et contexte socio-économique en milieu urbain. En plus de ce volet académique, il a donné des cours-terrain sur l'écologie forestière en collaboration avec l'organisme GUEPE et le collège Bois-de-Boulogne. Il a aussi notamment participé à une étude et à la création d'un plan de verdissement du centre-ville de Gatineau avec le Conseil Régional de l'Environnement et Développement Durable de l'Outaouais (CREDDO).
Félix est titulaire de la maîtrise en gestion durable des écosystèmes forestiers (UQÀM - 2017) ainsi que du baccalauréat en biologie de l'UQÀM (2015). Son projet-synthèse de maîtrise portait sur l'encadrement de la cueillette de champignons sauvages sur les terrains privés de la région péri-urbaine montréalaise. Ses stages l'ayant mené des zones agricoles aux forêts boréales, c'est la forêt urbaine et ses habitants qui ont retenu son attention. Dans le cadre de son projet de recherche, il s'intéresse présentement aux relations unissant canopée et contexte socio-économique en milieu urbain. En plus de ce volet académique, il a donné des cours-terrain sur l'écologie forestière en collaboration avec l'organisme GUEPE et le collège Bois-de-Boulogne. Il a aussi notamment participé à une étude et à la création d'un plan de verdissement du centre-ville de Gatineau avec le Conseil Régional de l'Environnement et Développement Durable de l'Outaouais (CREDDO).
Caroline Bergevin - candidate à la maîtrise
Caroline Bergevin est titulaire d’un Baccalauréat en administration des affaires à l’Université du Québec en Outaouais et est candidate à la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables. Elle s’implique dans de différentes causes locales et possède plusieurs années d’expérience en gestion d’événements communautaires. Son projet de recherche concerne l’analyse du cadre de gouvernance et de politiques visant la protection et le maintien de la viabilité des milieux naturels, plus spécifiquement l’identification des infrastructures naturelles et des stratégies relevant le maximum de bénéfices écosystémiques pour certaines municipalités locales du Québec.
Caroline Bergevin est titulaire d’un Baccalauréat en administration des affaires à l’Université du Québec en Outaouais et est candidate à la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables. Elle s’implique dans de différentes causes locales et possède plusieurs années d’expérience en gestion d’événements communautaires. Son projet de recherche concerne l’analyse du cadre de gouvernance et de politiques visant la protection et le maintien de la viabilité des milieux naturels, plus spécifiquement l’identification des infrastructures naturelles et des stratégies relevant le maximum de bénéfices écosystémiques pour certaines municipalités locales du Québec.
Alexandre Beaudoin - candidat à la maîtrise
Alexandre est diplômé d’un baccalauréat en biologie à l’Université de Sherbrooke et d’une maîtrise en environnement et développement durable à l'Université de Montréal. Co-fondateur et porte-parole de la coopérative d’apiculture urbaine, Miel Montréal, il devient apiculteur urbain et formateur en apiculture en plus de multiplier les projets d’agriculture urbaine notamment sur le campus de l’Université de Montréal. Fort de la réussite de PAUSE (Production Agricole Urbaine Soutenable et Écologique), Alexandre obtient le premier poste de conseiller en biodiversité en 2012 sur le campus de l’UdeM. Son implication lui vaudra la médaille de bronze du lieutenant-gouverneur du Québec. En parallèle, il travaille au Collège André-Grasset, de 2011 à 2015, en titre d’éco-conseiller où il favorise le virage vert du CÉGEP. Sur le conseil d’administration d’Héritage Laurentien depuis 2014, il apporte son énergie créative au développement de nouveaux projets. Il entame en 2016 à l'UQO sa seconde maîtrise, dont le sujet est l'élaboration de corridor écologique urbain.
Alexandre est diplômé d’un baccalauréat en biologie à l’Université de Sherbrooke et d’une maîtrise en environnement et développement durable à l'Université de Montréal. Co-fondateur et porte-parole de la coopérative d’apiculture urbaine, Miel Montréal, il devient apiculteur urbain et formateur en apiculture en plus de multiplier les projets d’agriculture urbaine notamment sur le campus de l’Université de Montréal. Fort de la réussite de PAUSE (Production Agricole Urbaine Soutenable et Écologique), Alexandre obtient le premier poste de conseiller en biodiversité en 2012 sur le campus de l’UdeM. Son implication lui vaudra la médaille de bronze du lieutenant-gouverneur du Québec. En parallèle, il travaille au Collège André-Grasset, de 2011 à 2015, en titre d’éco-conseiller où il favorise le virage vert du CÉGEP. Sur le conseil d’administration d’Héritage Laurentien depuis 2014, il apporte son énergie créative au développement de nouveaux projets. Il entame en 2016 à l'UQO sa seconde maîtrise, dont le sujet est l'élaboration de corridor écologique urbain.
Marie-Eve Roy – professionnelle de recherche
Marie-Eve Roy s’intéresse à l’écologie et la conservation de la biodiversité. Elle détient une maîtrise en biologie (éco-toxicologie) de l’UQAM, centre CIRÉ TOXEN (2006-2008), un baccalauréat en biologie de la faune et la flore et une mineure en biotechnologie de McGill (2001-2005). Elle a collaboré à différents projets tels que les impacts de l’aménagement forestier sur la biodiversité (la faune et la flore), la détermination et l’évaluation d’enjeux écologie de la forêt feuillue et la capacité d'adaptation des forêts aux changements climatiques (à l’IQAFF et ensuite l’ISFORT entre 2009-2016). Présentement, ses travaux portent sur 1) la conservation d’espèces menacés (fauniques et floristiques) par l’entremise d’évaluation écologique ou d’inventaires terrains avec la fondation de la Faune et la fondation David Suzuki et 2) des études sur les impacts de l’aménagement forestier avec l’équipe de l’ISFORT (UQO).
Marie-Eve Roy s’intéresse à l’écologie et la conservation de la biodiversité. Elle détient une maîtrise en biologie (éco-toxicologie) de l’UQAM, centre CIRÉ TOXEN (2006-2008), un baccalauréat en biologie de la faune et la flore et une mineure en biotechnologie de McGill (2001-2005). Elle a collaboré à différents projets tels que les impacts de l’aménagement forestier sur la biodiversité (la faune et la flore), la détermination et l’évaluation d’enjeux écologie de la forêt feuillue et la capacité d'adaptation des forêts aux changements climatiques (à l’IQAFF et ensuite l’ISFORT entre 2009-2016). Présentement, ses travaux portent sur 1) la conservation d’espèces menacés (fauniques et floristiques) par l’entremise d’évaluation écologique ou d’inventaires terrains avec la fondation de la Faune et la fondation David Suzuki et 2) des études sur les impacts de l’aménagement forestier avec l’équipe de l’ISFORT (UQO).
Aurélien Rigolet - assistant de recherche
Aurélien btient une maitrise en Economie de l’Environnement d’AgroParisTech en 2016 et un baccalauréat en International Economic Studies de l’Université de Maastricht en 2014. A la suite de ses études, il a travaillé à Bruxelles Environnement à la mise en place du Programme Régional en Economie Circulaire. Son doctorat s’inscrit dans un projet interdisciplinaire étudiant la restauration écologique de l’ancien site minier de Thetford Mines. Sa recherche vise à analyser la restauration écologique du site sous l’angle des services écosystémiques et à évaluer l’acceptabilité sociale du projet.
Aurélien btient une maitrise en Economie de l’Environnement d’AgroParisTech en 2016 et un baccalauréat en International Economic Studies de l’Université de Maastricht en 2014. A la suite de ses études, il a travaillé à Bruxelles Environnement à la mise en place du Programme Régional en Economie Circulaire. Son doctorat s’inscrit dans un projet interdisciplinaire étudiant la restauration écologique de l’ancien site minier de Thetford Mines. Sa recherche vise à analyser la restauration écologique du site sous l’angle des services écosystémiques et à évaluer l’acceptabilité sociale du projet.
Anciens membres
Charlène Kermagoret - stagiaire post-doctoral (2017-2019)
Chercheure en économie écologique, diplômée de l'Institut Universitaire Européen de la mer en 2014, Charlène s'intéresse de manière générale aux questions de gestion et de conservation de la biodiversité. Sa démarche scientifique est guidée par une approche interdisciplinaire mobilisant des cadres théoriques précis afin d'étudier les relations homme-nature. Ses travaux concernent plus précisément l'évaluation des usages de la biodiversité, l’évaluation multi-critères des services écosystémiques et l'analyse des politiques publiques liées aux questions d’aménagements (e.g. énergies renouvelables) et de conservation (e.g. mesures compensatoires). Charlène vient de terminer un premier stage postdoctoral réalisé au sein de l'UMR-AMURE dans le cadre du pilotage du volet mer et littoral du programme national EFESE (Évaluation Française des Écosystèmes et des Services Écosystémiques). Elle réalise désormais un stage post-doctoral à l'ISFORT/UQO au cours duquel elle participe au développement d'un cadre d'analyse liée à la mise en place de pratiques agro-environnementales.
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Chercheure en économie écologique, diplômée de l'Institut Universitaire Européen de la mer en 2014, Charlène s'intéresse de manière générale aux questions de gestion et de conservation de la biodiversité. Sa démarche scientifique est guidée par une approche interdisciplinaire mobilisant des cadres théoriques précis afin d'étudier les relations homme-nature. Ses travaux concernent plus précisément l'évaluation des usages de la biodiversité, l’évaluation multi-critères des services écosystémiques et l'analyse des politiques publiques liées aux questions d’aménagements (e.g. énergies renouvelables) et de conservation (e.g. mesures compensatoires). Charlène vient de terminer un premier stage postdoctoral réalisé au sein de l'UMR-AMURE dans le cadre du pilotage du volet mer et littoral du programme national EFESE (Évaluation Française des Écosystèmes et des Services Écosystémiques). Elle réalise désormais un stage post-doctoral à l'ISFORT/UQO au cours duquel elle participe au développement d'un cadre d'analyse liée à la mise en place de pratiques agro-environnementales.
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Jeoffrey Auclair - maîtrise (2016-2019)
Jeoffrey est un ancien étudiant de l’Université de Sherbrooke qui a complété un baccalauréat en économique, puis un second en géomatique appliquée à l’environnement. Maintenant étudiant à la maitrise au Département des sciences naturelles de l’Université du Québec en Outaouais, Jeoffrey travaille sur un projet de recherche visant à évaluer économiquement la valeur des écosystèmes du Québec méridional selon le cadre du Système de comptabilité environnementale et économique des Nations Unies. Plus spécifiquement, ce projet a pour but d’intégrer la valeur des écosystèmes dans le système de comptabilité nationale traditionnel. Allant en ce sens, ses intérêts de recherche touchent l’amélioration des prises de décision en aménagement du territoire.
Jeoffrey est un ancien étudiant de l’Université de Sherbrooke qui a complété un baccalauréat en économique, puis un second en géomatique appliquée à l’environnement. Maintenant étudiant à la maitrise au Département des sciences naturelles de l’Université du Québec en Outaouais, Jeoffrey travaille sur un projet de recherche visant à évaluer économiquement la valeur des écosystèmes du Québec méridional selon le cadre du Système de comptabilité environnementale et économique des Nations Unies. Plus spécifiquement, ce projet a pour but d’intégrer la valeur des écosystèmes dans le système de comptabilité nationale traditionnel. Allant en ce sens, ses intérêts de recherche touchent l’amélioration des prises de décision en aménagement du territoire.
Jean-François Bissonnette - stagiaire post-doctoral (2015-2018)
Jean-François Bissonnette étudie les questions relatives à la gouvernance des ressources naturelles. Il a complété des études doctorales en géographie à l'Université de Toronto sur les enjeux agricoles et forestiers en Indonésie et en Asie du Sud-Est (2012). Il a ensuite entamé des recherches postdoctorales sur les systèmes agraires et les politiques de gestion des ressources foncières dans les pays du Sud (2013-2015), notamment au département de géographie de l'Université Laval. Jean-François s'est joint à l'équipe de l'ISFORT à titre de stagiaire postdoctoral en 2015 pour participer à la réalisation d'un projet de recherche sur les perceptions des propriétaires de boisés de la Montérégie par rapport à leur capacité d'adaptation aux changements climatiques. Il participe actuellement à une étude sur les transformations du cadre institutionnel de la gouvernance forestière au Québec. Dans le cadre de ses travaux à l'ISFORT, il participe également à l'étude d'un programme de paiement pour services écosystémiques au Nicaragua, soit une initiative de reforestation financée par la vente des crédits de carbone.
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Jean-François Bissonnette étudie les questions relatives à la gouvernance des ressources naturelles. Il a complété des études doctorales en géographie à l'Université de Toronto sur les enjeux agricoles et forestiers en Indonésie et en Asie du Sud-Est (2012). Il a ensuite entamé des recherches postdoctorales sur les systèmes agraires et les politiques de gestion des ressources foncières dans les pays du Sud (2013-2015), notamment au département de géographie de l'Université Laval. Jean-François s'est joint à l'équipe de l'ISFORT à titre de stagiaire postdoctoral en 2015 pour participer à la réalisation d'un projet de recherche sur les perceptions des propriétaires de boisés de la Montérégie par rapport à leur capacité d'adaptation aux changements climatiques. Il participe actuellement à une étude sur les transformations du cadre institutionnel de la gouvernance forestière au Québec. Dans le cadre de ses travaux à l'ISFORT, il participe également à l'étude d'un programme de paiement pour services écosystémiques au Nicaragua, soit une initiative de reforestation financée par la vente des crédits de carbone.
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Bronwyn Rayfield - stagiaire post-doctorale (2016-2018)
Bronwyn est une écologiste paysagiste qui a une formation en statistique et en environnemétrie de l’Université de Guelph et un doctorat en écologie spatiale de l’Université de Toronto. Sa recherche couvre la modélisation du paysage, la conservation de la biodiversité, l’analyse spatiale, et l’analyse des habitats en réseaux. Ses collaborations avec Jérôme portent sur le développement d’un cadre d’infrastructure verte et son application en milieu urbain afin d’assurer la préservation des services d’écosystèmes et de la biodiversité face aux changements climatiques.
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Bronwyn est une écologiste paysagiste qui a une formation en statistique et en environnemétrie de l’Université de Guelph et un doctorat en écologie spatiale de l’Université de Toronto. Sa recherche couvre la modélisation du paysage, la conservation de la biodiversité, l’analyse spatiale, et l’analyse des habitats en réseaux. Ses collaborations avec Jérôme portent sur le développement d’un cadre d’infrastructure verte et son application en milieu urbain afin d’assurer la préservation des services d’écosystèmes et de la biodiversité face aux changements climatiques.
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Ann Lévesque – maîtrise (2016-2018)
Ann Lévesque détient un baccalauréat en sciences environnementales et agronomiques de l’Université McGill (2004) et une attestation de 2e cycle en éducation relative à l’environnement (ÉRE) de l’UQAM (2006). Depuis, elle a travaillé pour des organisations à but non lucratives (OBNL) dans le domaine de l’agronomie dont Équiterre, le réseau Agriconseils Outaouais et un organisme de recherche et d’innovation agricole indépendant : le CREDETAO. Elle a aussi occupé plusieurs postes au sein de conseils d’administration d’OBNL et participé à divers comités de travail en sécurité alimentaire, en formation et développement agricole, en environnement et en éducation populaire. Ann s’est jointe à l’équipe du projet ANCRAGE en janvier 2017 pour entreprendre une maîtrise sur mesure en développement durable et en conservation des ressources naturelles. Sa recherche visera à définir les pratiques agroenvironnementales pouvant être intégrées à la préservation de l’écosystème du lac St-Pierre et analyser les différentes échelles de motivations des parties prenantes face aux paiements pour services écologiques (PSÉ) dans le but de favoriser le transfert de connaissance en outillant les acteurs du milieu avec de nouvelles informations sur les opportunités de changements.
Ann Lévesque détient un baccalauréat en sciences environnementales et agronomiques de l’Université McGill (2004) et une attestation de 2e cycle en éducation relative à l’environnement (ÉRE) de l’UQAM (2006). Depuis, elle a travaillé pour des organisations à but non lucratives (OBNL) dans le domaine de l’agronomie dont Équiterre, le réseau Agriconseils Outaouais et un organisme de recherche et d’innovation agricole indépendant : le CREDETAO. Elle a aussi occupé plusieurs postes au sein de conseils d’administration d’OBNL et participé à divers comités de travail en sécurité alimentaire, en formation et développement agricole, en environnement et en éducation populaire. Ann s’est jointe à l’équipe du projet ANCRAGE en janvier 2017 pour entreprendre une maîtrise sur mesure en développement durable et en conservation des ressources naturelles. Sa recherche visera à définir les pratiques agroenvironnementales pouvant être intégrées à la préservation de l’écosystème du lac St-Pierre et analyser les différentes échelles de motivations des parties prenantes face aux paiements pour services écologiques (PSÉ) dans le but de favoriser le transfert de connaissance en outillant les acteurs du milieu avec de nouvelles informations sur les opportunités de changements.
Clément Chion - stagiaire post-doctoral (2015-2017)
Titulaire d'un doctorat en génie de l'ÉTS, je poursuis actuellement un stage post-doctoral à l'ISFORT. Mon principal intérêt de recherche est le développement d'outils informatiques (e.g. algorithmes d'intelligence artificielle, modèles de simulation) pour aider les utilisateurs et les gestionnaires de ressources naturelles à prendre des décisions et à résoudre des problèmes complexes. Je suis spécialisé dans le développement de modèles multi-agents de systèmes socio-écologiques (systèmes couplés Homme-Nature) dédiés à guider la gestion durable du territoire et de ses ressources naturelles ou encore l'atteinte d'objectifs de conservation. Je m'intéresse également aux approches participatives de gestion dans des contextes multi-acteurs.
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Titulaire d'un doctorat en génie de l'ÉTS, je poursuis actuellement un stage post-doctoral à l'ISFORT. Mon principal intérêt de recherche est le développement d'outils informatiques (e.g. algorithmes d'intelligence artificielle, modèles de simulation) pour aider les utilisateurs et les gestionnaires de ressources naturelles à prendre des décisions et à résoudre des problèmes complexes. Je suis spécialisé dans le développement de modèles multi-agents de systèmes socio-écologiques (systèmes couplés Homme-Nature) dédiés à guider la gestion durable du territoire et de ses ressources naturelles ou encore l'atteinte d'objectifs de conservation. Je m'intéresse également aux approches participatives de gestion dans des contextes multi-acteurs.
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Cédric Bertrand - maîtrise (2014-2017)
Je m'appelle Cédric Bertrand et j'ai 31 ans. Je suis ingénieur forestier et arboriculteur certifié. J'ai travaillé quelques années pour des firmes d'experts-conseils en environnement puis j'ai travaillé pendant 4½ ans pour l'OSBL Arbres Canada en tant que chargé de projets. Mes intérêts de recherche sont multiples mais je me concentre surtout sur la foresterie, la foresterie urbaine, les changements climatiques, les insectes et les plantes envahissantes et les services écosystémiques. Mon projet de maîtrise consiste à évaluer économiquement les services écosystémiques de la forêt urbaine de la Ville de Montréal sous le scénario actuel mais aussi sous différents scénarios plausibles de perturbations biotiques et abiotiques. Ce projet vise à mieux outiller les décideurs de la Ville de Montréal face aux changements globaux qui auront un impact sur cette forêt urbaine au courant des prochaines décennies.
Je m'appelle Cédric Bertrand et j'ai 31 ans. Je suis ingénieur forestier et arboriculteur certifié. J'ai travaillé quelques années pour des firmes d'experts-conseils en environnement puis j'ai travaillé pendant 4½ ans pour l'OSBL Arbres Canada en tant que chargé de projets. Mes intérêts de recherche sont multiples mais je me concentre surtout sur la foresterie, la foresterie urbaine, les changements climatiques, les insectes et les plantes envahissantes et les services écosystémiques. Mon projet de maîtrise consiste à évaluer économiquement les services écosystémiques de la forêt urbaine de la Ville de Montréal sous le scénario actuel mais aussi sous différents scénarios plausibles de perturbations biotiques et abiotiques. Ce projet vise à mieux outiller les décideurs de la Ville de Montréal face aux changements globaux qui auront un impact sur cette forêt urbaine au courant des prochaines décennies.
Lluis Parcerisas - stagiaire post-doctoral (2014-2016)
My project will use, for the first time in Québec and Canada, the new Social Metabolism methodology, an approach that views farms as ecosystems and measures flows of energy and soil nutrients through the landscape. Social Metabolism considers that natural and social processes are "active agents" engaged in a permanent and mutual determination. Every human society produces and reproduces its material conditions of existence from the metabolic processes exchanged with nature. This metabolism includes all the processes by which human beings, organized in society, catch, circulate, transform, consume and excrete materials and/or energy from the natural world. This project has two main objectives. In first place, it seeks to reconstruct the distribution of agriculture on the territory of Québec in 1871, 1921, 1951, 1981 and 2011, and analyze the different trajectories of agrarian evolution. In second place, this project aims to contribute to the understanding of how the traditional organic agrarian systems, based on solar energy, functioned and were transformed into the industrial and globalized agriculture now prevalent in Western societies dependent on fossil fuels that are becoming increasingly scarce.
Researchgate
My project will use, for the first time in Québec and Canada, the new Social Metabolism methodology, an approach that views farms as ecosystems and measures flows of energy and soil nutrients through the landscape. Social Metabolism considers that natural and social processes are "active agents" engaged in a permanent and mutual determination. Every human society produces and reproduces its material conditions of existence from the metabolic processes exchanged with nature. This metabolism includes all the processes by which human beings, organized in society, catch, circulate, transform, consume and excrete materials and/or energy from the natural world. This project has two main objectives. In first place, it seeks to reconstruct the distribution of agriculture on the territory of Québec in 1871, 1921, 1951, 1981 and 2011, and analyze the different trajectories of agrarian evolution. In second place, this project aims to contribute to the understanding of how the traditional organic agrarian systems, based on solar energy, functioned and were transformed into the industrial and globalized agriculture now prevalent in Western societies dependent on fossil fuels that are becoming increasingly scarce.
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Dominic Lagrois - stagiaire post-doctoral (2015 - 2017)
Dominic Lagrois est physicien (B.Sc. Université d'Ottawa 2000-2003; M.Sc. Université Laval 2004-2005; Ph.D. Université Laval 2006-2009; Stagiaire post-doctoral Université Laval 2009-2014). Son projet vise à mesurer l'exposition des mammifères marins au bruit d'origine humaine. Le bruit sous-marin attribué aux activités humaines implique une vaste variété d'effets distincts sur ces espèces. En particulier, une exposition à des niveaux faibles-à-modérés sur de longues périodes de temps (e.g., industrie navale) peut mener à un masquage des communications longue-distances, à l'incapacité à chercher de façon appropriée la nourriture nécessaire à la survie et à trouver des partenaires d'accouplement adéquats, à la perturbation du lien auditif liant une mère et son veau, et, finalement, à une éventuelle modification du comportement général.
Dominic Lagrois est physicien (B.Sc. Université d'Ottawa 2000-2003; M.Sc. Université Laval 2004-2005; Ph.D. Université Laval 2006-2009; Stagiaire post-doctoral Université Laval 2009-2014). Son projet vise à mesurer l'exposition des mammifères marins au bruit d'origine humaine. Le bruit sous-marin attribué aux activités humaines implique une vaste variété d'effets distincts sur ces espèces. En particulier, une exposition à des niveaux faibles-à-modérés sur de longues périodes de temps (e.g., industrie navale) peut mener à un masquage des communications longue-distances, à l'incapacité à chercher de façon appropriée la nourriture nécessaire à la survie et à trouver des partenaires d'accouplement adéquats, à la perturbation du lien auditif liant une mère et son veau, et, finalement, à une éventuelle modification du comportement général.
Frédérique Pellerin-Catellier - maîtrise (2015 - 2017)
Frédérique est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A) de HEC Montréal et d’une maîtrise en sciences (M.Sc) de l’environnement et du développement durable spécialisée en gestion de la biodiversité de l’Université de Montréal. Entre 2012 et 2015, elle a travaillé pour divers OSBL. Frédérique est aujourd’hui étudiante à la Maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources naturelles à l’UQO. Passionnée les problématiques environnementales impliquant aussi bien les sciences sociales que naturelles, les intérêts de recherche de Frédérique se concentrent plus précisément sur la conservation des ressources naturelles renouvelables et les programmes de paiements pour services écosystémiques (PSÉ). Les plus récentes recherches de Frédérique l’ont amené à collaborer avec l’OSBL Taking Roots qui pilote actuellement un programme de PSÉ intitulé CommuniTree Carbon au Nicaragua. L’objectif de cette collaboration est de comprendre comment l’autonomisation de communautés via les programmes de paiements pour services écosystémiques peut faciliter le développement durable et la conservation des ressources naturelles à long terme au sein de pays en développement.
Frédérique est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A) de HEC Montréal et d’une maîtrise en sciences (M.Sc) de l’environnement et du développement durable spécialisée en gestion de la biodiversité de l’Université de Montréal. Entre 2012 et 2015, elle a travaillé pour divers OSBL. Frédérique est aujourd’hui étudiante à la Maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources naturelles à l’UQO. Passionnée les problématiques environnementales impliquant aussi bien les sciences sociales que naturelles, les intérêts de recherche de Frédérique se concentrent plus précisément sur la conservation des ressources naturelles renouvelables et les programmes de paiements pour services écosystémiques (PSÉ). Les plus récentes recherches de Frédérique l’ont amené à collaborer avec l’OSBL Taking Roots qui pilote actuellement un programme de PSÉ intitulé CommuniTree Carbon au Nicaragua. L’objectif de cette collaboration est de comprendre comment l’autonomisation de communautés via les programmes de paiements pour services écosystémiques peut faciliter le développement durable et la conservation des ressources naturelles à long terme au sein de pays en développement.
Franck Fetue Ndefo - assistant de recherche (2015-2016)
Franck Fetue Ndefo est titulaire de maîtrises en économie (Université de Sherbrooke, 2015), en économie et gestion de l’environnement (Université de Bordeaux, 2011) et en développement durable (Université de Clermont-Ferrand, 2010). Il est également titulaire d’un baccalauréat en analyse et politique économique (Université de Clermont-Ferrand, 2007). Ses intérêts de recherche se centrent notamment sur l’évaluation économique des services écosystémiques, la gouvernance du changement climatique, la malédiction des ressources naturelles et les politiques économiques du développement durable. Il a collaboré à différents projets tels que l’évaluation économique de la ceinture et trame bleue du Grand Montréal pour la fondation David Suzuki et Nature Action Québec, ou encore l’évaluation de la valeur du lac St pierre dans un contexte de changements climatiques pour Ressources naturelles Canada et Ouranos.
Franck Fetue Ndefo est titulaire de maîtrises en économie (Université de Sherbrooke, 2015), en économie et gestion de l’environnement (Université de Bordeaux, 2011) et en développement durable (Université de Clermont-Ferrand, 2010). Il est également titulaire d’un baccalauréat en analyse et politique économique (Université de Clermont-Ferrand, 2007). Ses intérêts de recherche se centrent notamment sur l’évaluation économique des services écosystémiques, la gouvernance du changement climatique, la malédiction des ressources naturelles et les politiques économiques du développement durable. Il a collaboré à différents projets tels que l’évaluation économique de la ceinture et trame bleue du Grand Montréal pour la fondation David Suzuki et Nature Action Québec, ou encore l’évaluation de la valeur du lac St pierre dans un contexte de changements climatiques pour Ressources naturelles Canada et Ouranos.